Du mariage républicain au mariage sans-culotte (arrêt sur image : 2/7 l'imagerie révolutionnaire )

Comme dit wikipédia « La célébration de « mariages républicains » consiste à attacher les condamnés deux par deux (de préférence un homme avec une femme, nus) avant de les jeter à l'eau…» On remarquera l'omniprésence de la nudité dans le fait révolutionnaire. Longuement théorisé depuis 1968 sous des prétextes de libération, le rapport au corp et son exhibition se veut Révolutionnaire. La rupture des barrières morales a pour but de casser le bien vivre en société et elle-même laisse une porte ouverte à toutes les violences et déviances. La volonté de s'identifier au « sans-culotte » est bien réelle. 1793 est un héritage toujours revendiqué en 2013 (ci-dessous la preuve par l'image).


On pourra utilement se reporter aux études d'Alfred Lallié et de Gustave Le Bon sur la violence révolutionnaire (théorie et pratique).
« La célébration de « mariages républicains » consistant à attacher les condamnés deux par deux (de préférence un homme avec une femme, nus) avant de les jeter à l'eau, tout comme on peut douter de la multiplication des orgies organisées par Carrier avec la participation forcée de suspectes... Cependant au total, sur les 13 000 prisonniers détenus à Nantes, environ 10 000 furent tués… ».

On pourra utilement se reporter aux études d'Alfred Lallié et de Gustave Le Bon sur la violence révolutionnaire (théorie et pratique).
Mardi 29 Janvier 2013
Pierre-Michel Cohen
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