L'article en question, signé Romain Lescurieux (également journaliste à 20 minutes), a été publié dans l'édition du 23 Août dernier. Intitulé « Deux versions de l'histoire », il renvoie clairement à l'opposition radicale entre l'histoire dite ''officielle'', républicaine, enseignée à toutes les jeunes têtes blondes de France et de Navarre, et ce que malheureusement seule une poignée d'historiens considèrent de nos jours comme un véritable génocide, orchestré depuis les plus hautes sphères de l'état lors de la Révolution Française.
Au cours de l'entretien, Amaury Guitard a pris le soin d'insister sur le grand paradoxe de voir, encore aujourd'hui, des rues ou bien des établissements scolaires porter le nom des plus grands criminels, tels que Carnot ou bien Robespierre.
En première page du journal, le sommaire présente l'ouvrage de ce jeune homme comme un « livre qui pourrait faire du bruit ».
Faut-il voir dans tout cela le début d'un réveil des consciences, malgré toutes les preuves déjà dévoilées auparavant, ou bien une redécouverte pure et simple d'une des pages les plus sombres de notre Histoire, occultée et passée sous silence pendant des décennies entières ? Sans doute un peu des deux.
En première page du journal, le sommaire présente l'ouvrage de ce jeune homme comme un « livre qui pourrait faire du bruit ».
Faut-il voir dans tout cela le début d'un réveil des consciences, malgré toutes les preuves déjà dévoilées auparavant, ou bien une redécouverte pure et simple d'une des pages les plus sombres de notre Histoire, occultée et passée sous silence pendant des décennies entières ? Sans doute un peu des deux.
source journal dijonnais « Le Bien Public »