Sous la présidence de Jean de Dreuzy, et grâce à l'organisation sans faille à la charge de Christian Ménard, fidèle adhérent du secteur, la réussite de la journée fut totale.
À 10 h, une messe, célébrée en l'église par le père Paul de la communauté des Pères du Saint-Esprit et chargé du site du Marillais (49), a rassemblé plus de 60 participants. Par la suite, ces mêmes personnes, provenant de quatre départements (Vendée Militaire), se sont retrouvées dans les salles de Landebaudière pour échanger sur les actions ayant trait au devoir de mémoire, consigne particulière présente dans tous les esprits.
Au cours de l'après-midi, les adhérents se sont retrouvés au cimetière, appelé « Le Panthéon de la Vendée militaire », en raison du nombre important de victimes du grand massacre du 27 février 1794 qui y reposent. L'on y retrouve également de nombreuses tombes de chefs et personnalités qui s'illustrèrent durant la guerre de Vendée.
Bruno Retailleau, président du Conseil général, a rejoint la délégation. Avec le président, ils ont déposé une gerbe devant la monumentale croix de granit, érigée en 1839, au sommet d'un tertre central dans lequel sont les restes de nombreuses victimes de 1794.
Tour à tour, les deux orateurs ont pris la parole pour mettre en exergue le devoir de mémoire : « Nous devons avoir le souci constant de transmettre aux générations futures les conditions ignobles du génocide qui s'est déroulé ici et comme dans toutes les paroisses de la Vendée militaire. Celles-ci connurent un soulèvement extraordinaire pour la défense de la liberté religieuse, le maintien des prêtres obligés de se cacher pour assurer leur sacerdoce et le refus de défendre un gouvernement qui ne respectait pas ces valeurs. Il faut éviter l'oubli, l'esprit de vengeance et s'aiguiller plutôt vers le pardon à la façon de Bonchamps. »
(Source : Ouest-France.fr, mardi 17 avril 2012)
À 10 h, une messe, célébrée en l'église par le père Paul de la communauté des Pères du Saint-Esprit et chargé du site du Marillais (49), a rassemblé plus de 60 participants. Par la suite, ces mêmes personnes, provenant de quatre départements (Vendée Militaire), se sont retrouvées dans les salles de Landebaudière pour échanger sur les actions ayant trait au devoir de mémoire, consigne particulière présente dans tous les esprits.
Au cours de l'après-midi, les adhérents se sont retrouvés au cimetière, appelé « Le Panthéon de la Vendée militaire », en raison du nombre important de victimes du grand massacre du 27 février 1794 qui y reposent. L'on y retrouve également de nombreuses tombes de chefs et personnalités qui s'illustrèrent durant la guerre de Vendée.
Bruno Retailleau, président du Conseil général, a rejoint la délégation. Avec le président, ils ont déposé une gerbe devant la monumentale croix de granit, érigée en 1839, au sommet d'un tertre central dans lequel sont les restes de nombreuses victimes de 1794.
Tour à tour, les deux orateurs ont pris la parole pour mettre en exergue le devoir de mémoire : « Nous devons avoir le souci constant de transmettre aux générations futures les conditions ignobles du génocide qui s'est déroulé ici et comme dans toutes les paroisses de la Vendée militaire. Celles-ci connurent un soulèvement extraordinaire pour la défense de la liberté religieuse, le maintien des prêtres obligés de se cacher pour assurer leur sacerdoce et le refus de défendre un gouvernement qui ne respectait pas ces valeurs. Il faut éviter l'oubli, l'esprit de vengeance et s'aiguiller plutôt vers le pardon à la façon de Bonchamps. »
(Source : Ouest-France.fr, mardi 17 avril 2012)