Extrait du registre de La Chapelle-Largeau pour l'année 1792
Les papiers publics furent bien malmenés par la Révolution en Vendée. Ceux qui ont échappé aux flammes de l’insurrection ou de la répression demeurent pourtant de précieux témoins de l’histoire locale. C'est le cas du registre paroissial de La Chapelle-Largeau pour l'année 1792, au cours de laquelle cette partie des Deux-Sèvres se souleva prématurément. La révolte éclata le 19 août à Moncoutant et se répandit au son du tocsin. Elle fut brève. Les paysans s’emparèrent de Châtillon le 22, mais leur élan se brisa devant Bressuire le surlendemain. La répression jeta l'épouvante dans tout le pays. Les autorités poursuivirent pendant plusieurs mois les émeutiers, les prêtres réfractaires et ceux qui les cachaient. Plus qu’un prélude à la grande insurrection de mars 1793, cette affaire devint pour les révolutionnaires locaux « l’apprentissage de la barbarie » (1).
« Je soussigné veuve Brébion ai baptisé Jean Fortin… »
Revenons à La Chapelle-Largeau. Les actes des baptêmes de cette époque ont de quoi étonner le généalogiste puisque ce sont des femmes qui officient en l’absence de prêtre. Le premier est daté du 3 septembre 1792. La veuve Brébion y déclare avoir baptisé Jean Fortin. Six actes semblables suivent jusqu’à la fin de l’année. Le 10 septembre, Marie Veillon préside au baptême de Perrine Cousseau ; le 21, Perrine Baudry à celui de Sébastien Landreau ; le 26, Marie Charier à celui de Pierre René Ferchaud ; le 4 octobre, Marie Dillon à celui de Louis Célestin Richardin ; le 6 décembre, Marie Chardonneau à celui de Jeune Viève [Geneviève] Bonnin ; et le 26 du même mois, Jeanne Brosseau baptise Jeanne Rozaly [Rosalie] Dillon. Aucune de ces femmes n’appose sa griffe au bas de ces actes de baptêmes en dépit de la formule consacrée « je soussigné », libellée au masculin, car c’est en réalité le procureur de la commune, le nommé Poupelin, qui les rédige. Sa signature jouxte parfois celle de Barbarit, le maire (2) de La Chapelle-Largeau. La loi du 20 septembre 1792 a en effet rendu l’état civil laïc, en transférant les registres paroissiaux, que les prêtres avaient désormais interdiction de tenir, à la mairie.
« Je soussigné veuve Brébion ai baptisé Jean Fortin… »
Revenons à La Chapelle-Largeau. Les actes des baptêmes de cette époque ont de quoi étonner le généalogiste puisque ce sont des femmes qui officient en l’absence de prêtre. Le premier est daté du 3 septembre 1792. La veuve Brébion y déclare avoir baptisé Jean Fortin. Six actes semblables suivent jusqu’à la fin de l’année. Le 10 septembre, Marie Veillon préside au baptême de Perrine Cousseau ; le 21, Perrine Baudry à celui de Sébastien Landreau ; le 26, Marie Charier à celui de Pierre René Ferchaud ; le 4 octobre, Marie Dillon à celui de Louis Célestin Richardin ; le 6 décembre, Marie Chardonneau à celui de Jeune Viève [Geneviève] Bonnin ; et le 26 du même mois, Jeanne Brosseau baptise Jeanne Rozaly [Rosalie] Dillon. Aucune de ces femmes n’appose sa griffe au bas de ces actes de baptêmes en dépit de la formule consacrée « je soussigné », libellée au masculin, car c’est en réalité le procureur de la commune, le nommé Poupelin, qui les rédige. Sa signature jouxte parfois celle de Barbarit, le maire (2) de La Chapelle-Largeau. La loi du 20 septembre 1792 a en effet rendu l’état civil laïc, en transférant les registres paroissiaux, que les prêtres avaient désormais interdiction de tenir, à la mairie.
Signature de M. Vion-Dubois
Où est passé le curé de La Chapelle-Largeau ?
Le curé Guimard n’apparaît plus dans les registres paroissiaux à compter du 15 février 1792. La relève a cependant été assurée en dépit des persécutions religieuses par son vicaire, M. Vion-Dubois, depuis le début de cette année (3). Ce dernier ne tarda pas à faire parler de lui à l’occasion du soulèvement d’août 1792. D’après une tradition locale, les soldats surprirent une procession et s’emparèrent du vicaire qui la présidait. Les fidèles s’y opposèrent violemment à coups de pierres, mais M. Vion-Dubois retint leurs gestes et accepta de suivre les soldats (4). Pour réprimer la révolte et traquer les réfractaires, les autorités de Bressuire (5) reçurent le soutien des districts limitrophes de cette portion des Deux-Sèvres. Le curé de La Chapelle-Largeau en fit les frais. Les troupes du district de La Châtaigneraie le capturèrent et le livrèrent au district de Bressuire avec les curés de Saint-Marsault, de Saint-André-sur-Sèvre et de Pugny, « compromis dans les mouvements insurrectionnels du mois d’août » (6). M. Vion-Dubois fut donc conduit à Bressuire. Contre toute attente il fut relâché quelque temps après, et rentra à La Chapelle-Largeau où il demeura pendant toute la durée de la guerre.
Le registre de la paroisse passe sans transition du 10 mai 1792 (7), le dernier acte signé par M. Vion-Dubois, au 1er septembre suivant (8), date à laquelle des laïques prennent le relais jusqu'à ce que leur curé soit rendu à la liberté. Son nom réapparaît dans les actes de 1793 qui commencent au 28 avril (9), à l'époque même où le Châtillonnais rejoint l'insurrection. Il ne semble pas que M. Vion-Dubois ait été libéré par les Vendéens puisque ceux-ci ne s'empareront de Bressuire et n'en libéreront les prisonniers que le 2 mai.
Le curé Guimard n’apparaît plus dans les registres paroissiaux à compter du 15 février 1792. La relève a cependant été assurée en dépit des persécutions religieuses par son vicaire, M. Vion-Dubois, depuis le début de cette année (3). Ce dernier ne tarda pas à faire parler de lui à l’occasion du soulèvement d’août 1792. D’après une tradition locale, les soldats surprirent une procession et s’emparèrent du vicaire qui la présidait. Les fidèles s’y opposèrent violemment à coups de pierres, mais M. Vion-Dubois retint leurs gestes et accepta de suivre les soldats (4). Pour réprimer la révolte et traquer les réfractaires, les autorités de Bressuire (5) reçurent le soutien des districts limitrophes de cette portion des Deux-Sèvres. Le curé de La Chapelle-Largeau en fit les frais. Les troupes du district de La Châtaigneraie le capturèrent et le livrèrent au district de Bressuire avec les curés de Saint-Marsault, de Saint-André-sur-Sèvre et de Pugny, « compromis dans les mouvements insurrectionnels du mois d’août » (6). M. Vion-Dubois fut donc conduit à Bressuire. Contre toute attente il fut relâché quelque temps après, et rentra à La Chapelle-Largeau où il demeura pendant toute la durée de la guerre.
Le registre de la paroisse passe sans transition du 10 mai 1792 (7), le dernier acte signé par M. Vion-Dubois, au 1er septembre suivant (8), date à laquelle des laïques prennent le relais jusqu'à ce que leur curé soit rendu à la liberté. Son nom réapparaît dans les actes de 1793 qui commencent au 28 avril (9), à l'époque même où le Châtillonnais rejoint l'insurrection. Il ne semble pas que M. Vion-Dubois ait été libéré par les Vendéens puisque ceux-ci ne s'empareront de Bressuire et n'en libéreront les prisonniers que le 2 mai.
L'actuelle église de La Chapelle-Largeau
Un curé de la Petite Église
Marie-Esprit Vion-Dubois est né le 13 février 1763 au Rafou (10), paroisse de Treize-Vents, et a été baptisé à Saint-Laurent-sur-Sèvre le lendemain. Il était le fils de Jean-Baptiste Vion-Dubois et de Perrine Durand.
M. Vion-Dubois compte parmi cette poignée de prêtres irréductibles qui refusèrent d'abandonner leurs ouailles dans les épreuves. Caché parmi les siens pendant toutes ces années de Révolution, il poursuivit son ministère, tenant consciencieusement les registres de sa paroisse. Il fut confronté à un nouveau défi lorsque Bonaparte voulut ramener la paix religieuse en signant avec le pape Pie VII le Concordat de 1801. Guidés par leur ancien évêque, Mgr de Coucy (11), nombre de réfractaires refusèrent de s'y soumettre.
M. de Barral, à qui le Premier consul avait confié une mission de conciliation dans le diocèse de Poitiers, eut à cœur de ramener ces « brebis égarées au sein du troupeau ». Il entreprit une tournée parmi les dissidents à l’été 1804. À son retour, il constata que, dans le canton de Châtillon, trois desservants sur treize refusaient encore le Concordat : Barbarin, Brunet et Vion-Dubois (12). Les appels à la raison firent place aux menaces et aux poursuites. Le dissident (13) de La Chapelle-Largeau n'en eut cure. L'abbé Soyer, grand vicaire de Poitiers, s'en plaignit en décembre 1807. Ce « prêtre turbulent […] va et vient librement, bien qu’il ait contre lui un mandat d’arrêt, lancé depuis plus d’un an » (14).
Le préfet Dupin demeurait lui aussi vigilant quant à la dissidence. Un de ces rapports daté de 1811 décrit M. Vion-Dubois comme un homme « d’une faible complexion et d’une capacité bornée ». Il ajoute néanmoins que ce prêtre exerce « une grande influence sur les dissidents de La Chapelle-Largeau qui composent la moitié de la population de cette commune. Il y vit caché. Il dirige le peu de dissidents répandus à Châtillon, Saint-Jouin, Les Échaubrognes, Moulins et une partie de ceux de Saint-Aubin-de-Baubigné. » (15)
Devant une telle obstination, l'évêque de Poitiers dut se résoudre à confier la charge de La Chapelle-Largeau à un nouveau curé, M. Madiot. Ce dernier se présenta le 16 septembre 1818 au maire, M. Thévin, muni de ses pouvoirs. Il obtint les clefs de l'église, mais pas celles du presbytère, toujours occupé par M. Vion-Dubois qui n’entendait pas déserter sa fonction (16). La Révolution l’avait soumis à de plus rudes épreuves pour céder à cette adversité.
Le nouvel évêque de Poitiers, Mgr de Bouillé, lança à son tour en décembre 1819 un appel aux prêtres dissidents dans l’espoir d’obtenir leur soumission. Les plus intransigeants le rejetèrent, mais la résistance s’effritait au fil des ans et certains finirent à accepter la main tendue de l’évêque en 1820. Parmi eux figuraient M. Vion-Dubois (17).
Le prêtre demeura dans sa paroisse de La Chapelle-Largeau jusqu’à la fin de sa vie. Il mourut au presbytère le 15 août 1843, à l’âge de 80 ans.
Marie-Esprit Vion-Dubois est né le 13 février 1763 au Rafou (10), paroisse de Treize-Vents, et a été baptisé à Saint-Laurent-sur-Sèvre le lendemain. Il était le fils de Jean-Baptiste Vion-Dubois et de Perrine Durand.
M. Vion-Dubois compte parmi cette poignée de prêtres irréductibles qui refusèrent d'abandonner leurs ouailles dans les épreuves. Caché parmi les siens pendant toutes ces années de Révolution, il poursuivit son ministère, tenant consciencieusement les registres de sa paroisse. Il fut confronté à un nouveau défi lorsque Bonaparte voulut ramener la paix religieuse en signant avec le pape Pie VII le Concordat de 1801. Guidés par leur ancien évêque, Mgr de Coucy (11), nombre de réfractaires refusèrent de s'y soumettre.
M. de Barral, à qui le Premier consul avait confié une mission de conciliation dans le diocèse de Poitiers, eut à cœur de ramener ces « brebis égarées au sein du troupeau ». Il entreprit une tournée parmi les dissidents à l’été 1804. À son retour, il constata que, dans le canton de Châtillon, trois desservants sur treize refusaient encore le Concordat : Barbarin, Brunet et Vion-Dubois (12). Les appels à la raison firent place aux menaces et aux poursuites. Le dissident (13) de La Chapelle-Largeau n'en eut cure. L'abbé Soyer, grand vicaire de Poitiers, s'en plaignit en décembre 1807. Ce « prêtre turbulent […] va et vient librement, bien qu’il ait contre lui un mandat d’arrêt, lancé depuis plus d’un an » (14).
Le préfet Dupin demeurait lui aussi vigilant quant à la dissidence. Un de ces rapports daté de 1811 décrit M. Vion-Dubois comme un homme « d’une faible complexion et d’une capacité bornée ». Il ajoute néanmoins que ce prêtre exerce « une grande influence sur les dissidents de La Chapelle-Largeau qui composent la moitié de la population de cette commune. Il y vit caché. Il dirige le peu de dissidents répandus à Châtillon, Saint-Jouin, Les Échaubrognes, Moulins et une partie de ceux de Saint-Aubin-de-Baubigné. » (15)
Devant une telle obstination, l'évêque de Poitiers dut se résoudre à confier la charge de La Chapelle-Largeau à un nouveau curé, M. Madiot. Ce dernier se présenta le 16 septembre 1818 au maire, M. Thévin, muni de ses pouvoirs. Il obtint les clefs de l'église, mais pas celles du presbytère, toujours occupé par M. Vion-Dubois qui n’entendait pas déserter sa fonction (16). La Révolution l’avait soumis à de plus rudes épreuves pour céder à cette adversité.
Le nouvel évêque de Poitiers, Mgr de Bouillé, lança à son tour en décembre 1819 un appel aux prêtres dissidents dans l’espoir d’obtenir leur soumission. Les plus intransigeants le rejetèrent, mais la résistance s’effritait au fil des ans et certains finirent à accepter la main tendue de l’évêque en 1820. Parmi eux figuraient M. Vion-Dubois (17).
Le prêtre demeura dans sa paroisse de La Chapelle-Largeau jusqu’à la fin de sa vie. Il mourut au presbytère le 15 août 1843, à l’âge de 80 ans.
Acte de décès de M. Vion-Dubois
Notes :
(1) Mémoires de Madame la Marquise de La Rochejaquelein, Pays & Terroirs, Cholet, 1993, p. 91, note 5.
(2) « mer » dans le texte.
(3) Sa première signature apparaît le 15 janvier 1792.
(4) CHABOT (Françoise de), Un canton du Bocage vendéen, souvenirs de la Grande Guerre, Pays & Terroirs, Cholet, 2003, p. 30, note 2.
(5) Blâmé pour être tombé aux mains des insurgés, Châtillon fut déchu de son siège de district. L'Assemblée nationale le transporta à Bressuire le 30 août 1792.
(6) CHASSIN (Ch.-L.), La préparation de la guerre de la Vendée, 1789-1793, Paris, Dupont, 1892, t. III, p. 87.
(7) Acte de baptême de Baptiste Hévissé.
(8) Acte de sépulture de Jeanne Gaboriau.
(9) Dans le registre qui nous est parvenu.
(10) Le Rafou est l’un de ces hameaux qui forment cet imbroglio de frontière enté entre Vendée et Deux-Sèvres. Il relève aujourd’hui de la commune de Saint-Laurent-sur-Sèvre, mais il a longtemps appartenu à ce qu'on appelait « l'Enclave de Treize-Vents » : voir l'article sur le blog du Pays de Mortagne.
(11) Évêque de La Rochelle depuis 1789, il refusa le serment constitutionnel et s’exila en Espagne. Refusant de remettre sa charge à Pie VII, il contribua au schisme de la Petite Église. Il se soumit enfin en 1816 et fut nommé archevêque de Reims l’année suivante. Jusqu’à la Révolution, le diocèse de La Rochelle s’étendait jusqu’à la vallée de la Sèvre nantaise, au Choletais et au Bocage bressuirais. Ce fut là le bastion de la Petite Église.
(12) Le premier était curé de Nueil-sous-les-Aubiers, le second des Aubiers (B. JAUD, J. CHIRON, Barbarin, le grenadier de la Petite Église, 1987, pp. 148-149).
(13) Nom donné aux prêtres et aux membres de la Petite Église qui refusèrent de se soumettre au Concordat.
(14) DROCHON (Jean-Emmanuel), La Petite Eglise, essai historique sur le schisme anticoncordataire, Pays & Terroirs, Cholet, 2007, p. 104.
(15) Ibidem, p. 114.
(16) Ibidem, pp. 196-197.
(17) Guy COUTANT de SAISSEVAL, La Petite Église du Bocage vendéen, Hérault, 1991, p. 63.
(1) Mémoires de Madame la Marquise de La Rochejaquelein, Pays & Terroirs, Cholet, 1993, p. 91, note 5.
(2) « mer » dans le texte.
(3) Sa première signature apparaît le 15 janvier 1792.
(4) CHABOT (Françoise de), Un canton du Bocage vendéen, souvenirs de la Grande Guerre, Pays & Terroirs, Cholet, 2003, p. 30, note 2.
(5) Blâmé pour être tombé aux mains des insurgés, Châtillon fut déchu de son siège de district. L'Assemblée nationale le transporta à Bressuire le 30 août 1792.
(6) CHASSIN (Ch.-L.), La préparation de la guerre de la Vendée, 1789-1793, Paris, Dupont, 1892, t. III, p. 87.
(7) Acte de baptême de Baptiste Hévissé.
(8) Acte de sépulture de Jeanne Gaboriau.
(9) Dans le registre qui nous est parvenu.
(10) Le Rafou est l’un de ces hameaux qui forment cet imbroglio de frontière enté entre Vendée et Deux-Sèvres. Il relève aujourd’hui de la commune de Saint-Laurent-sur-Sèvre, mais il a longtemps appartenu à ce qu'on appelait « l'Enclave de Treize-Vents » : voir l'article sur le blog du Pays de Mortagne.
(11) Évêque de La Rochelle depuis 1789, il refusa le serment constitutionnel et s’exila en Espagne. Refusant de remettre sa charge à Pie VII, il contribua au schisme de la Petite Église. Il se soumit enfin en 1816 et fut nommé archevêque de Reims l’année suivante. Jusqu’à la Révolution, le diocèse de La Rochelle s’étendait jusqu’à la vallée de la Sèvre nantaise, au Choletais et au Bocage bressuirais. Ce fut là le bastion de la Petite Église.
(12) Le premier était curé de Nueil-sous-les-Aubiers, le second des Aubiers (B. JAUD, J. CHIRON, Barbarin, le grenadier de la Petite Église, 1987, pp. 148-149).
(13) Nom donné aux prêtres et aux membres de la Petite Église qui refusèrent de se soumettre au Concordat.
(14) DROCHON (Jean-Emmanuel), La Petite Eglise, essai historique sur le schisme anticoncordataire, Pays & Terroirs, Cholet, 2007, p. 104.
(15) Ibidem, p. 114.
(16) Ibidem, pp. 196-197.
(17) Guy COUTANT de SAISSEVAL, La Petite Église du Bocage vendéen, Hérault, 1991, p. 63.
Carte de Cassini (XVIIIe siècle) – La Chapelle-Largeau et ses environs
Sources :
– Archives départementales des Deux-Sèvres en ligne -> registres paroissiaux et d'état civil -> La Chapelle-Largeau -> BMS 1781-An VIII -> pp.84-85/167.
– Archives départementales de la Vendée en ligne -> état-civil -> Saint-Laurent-sur-Sèvre -> BMS 1761-1785 -> p.30/294.
– Archives départementales des Deux-Sèvres en ligne -> registres paroissiaux et d'état civil -> La Chapelle-Largeau -> BMS 1781-An VIII -> pp.84-85/167.
– Archives départementales de la Vendée en ligne -> état-civil -> Saint-Laurent-sur-Sèvre -> BMS 1761-1785 -> p.30/294.