Génocide en vendée ou pas?
Hélène Piralian-simonyan
Pour répondre à votre question et comprendre les enjeux de cette reconnaissance et les effets psychiques que son déni entraîne non seulement sur les descendants des Vendéens mais aussi sur les citoyens français en leur ensemble puisque porteurs de ce déni, il est nécessaire de revenir sur la spécificité du projet génocidaire . En effet, dans un projet génocide il s'agit avant tout , au delà du meurtre de vivants, de faire disparaître ces vivants des' "ayant existé" et de rendre ainsi leur deuil impossible pour les survivants. C'est pourquoi un génocide ne s'inscrit pas dans l'histoire mais rompt cette histoire en empêchant toute transmission et pourquoi aussi seule sa reconnaissance qui reconnaissant à la fois l'existence des génocidés et la tentative de destruction radicale dont ils ont fait l'objet, permet cette (re)inscription .
Par ailleurs, c'est ce déni qui,se poursuivant dans le présent sous forme de mémoricide rend possible la répétition hors temps de ses effets destructeurs.
La non reconnaissance d'un génocide maintient le maintient donc dans le présent et toujours actif et destructeur
Voir pour plus de développement
www.genocide.fr mes articles à ce sujet
Par ailleurs, c'est ce déni qui,se poursuivant dans le présent sous forme de mémoricide rend possible la répétition hors temps de ses effets destructeurs.
La non reconnaissance d'un génocide maintient le maintient donc dans le présent et toujours actif et destructeur
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Hélène Korwin
Bonsoir,
Le terme Génocide concernant la Vendée a été repris par Reynald Seicher. C'est un terme fort, qui nous ramène à la seconde guerre mondiale et qui a porté à polémique quand il a été utilisé pour la Vendée.
Quand on s'interesse à la tragédie Vendéenne et que l'on voit les efforts, l'imagination horrible des hommes au pouvoir à cette époque pour éliminer les vendéens : l'utilisation de gaz, l'empoisonnement de l'eau, le massacre systématique des populations (qui a même conduit les hordes infernales à tuer des républicains) ; quand on voit ce qui a été fait, en plus des massacres, ce que l'on a fait des peaux, de la graisse humaine), le mot Génocide, a bien sa place dans l'histoire vendéenne.
De nombreux ouvrages témoignent de cette volonté systématique du pouvoir révolutionnaire a tout faire pour éliminer la vendée et les vendéens. Je vous invite à lire celui de Gracchus Baboeuf pour n'en citer qu'un.
L'enjeu, il est réel. La mémoire de la vendée devrait être une nécesité pour nous tous.
On ne peut pas regarder devant soi sans ignorer le passé ou se voiler la face.
Sachant que notre héritage révolutionnaire a pesé très lourd. La révolution russe s'en est inspirée, et combien de régimes communistes ont et continuent (comme la Corée du Nord) s'en sont inspirés..
Aujourd'hui encore des hommes comme Reynald Seicher, payent chèrement ce désir de faire connaître à tous cette histoire de France qu'une certaine intelligentsia ne veut pas que l'on réveille.
Pourquoi, pas, espérer, en 2013, une vrai refonte de nos manuels d'histoire...
Nous ne pouvons pas accepter le mémoricide pour la Vendée.
Le terme Génocide concernant la Vendée a été repris par Reynald Seicher. C'est un terme fort, qui nous ramène à la seconde guerre mondiale et qui a porté à polémique quand il a été utilisé pour la Vendée.
Quand on s'interesse à la tragédie Vendéenne et que l'on voit les efforts, l'imagination horrible des hommes au pouvoir à cette époque pour éliminer les vendéens : l'utilisation de gaz, l'empoisonnement de l'eau, le massacre systématique des populations (qui a même conduit les hordes infernales à tuer des républicains) ; quand on voit ce qui a été fait, en plus des massacres, ce que l'on a fait des peaux, de la graisse humaine), le mot Génocide, a bien sa place dans l'histoire vendéenne.
De nombreux ouvrages témoignent de cette volonté systématique du pouvoir révolutionnaire a tout faire pour éliminer la vendée et les vendéens. Je vous invite à lire celui de Gracchus Baboeuf pour n'en citer qu'un.
L'enjeu, il est réel. La mémoire de la vendée devrait être une nécesité pour nous tous.
On ne peut pas regarder devant soi sans ignorer le passé ou se voiler la face.
Sachant que notre héritage révolutionnaire a pesé très lourd. La révolution russe s'en est inspirée, et combien de régimes communistes ont et continuent (comme la Corée du Nord) s'en sont inspirés..
Aujourd'hui encore des hommes comme Reynald Seicher, payent chèrement ce désir de faire connaître à tous cette histoire de France qu'une certaine intelligentsia ne veut pas que l'on réveille.
Pourquoi, pas, espérer, en 2013, une vrai refonte de nos manuels d'histoire...
Nous ne pouvons pas accepter le mémoricide pour la Vendée.
Jean-Edouard de Villiers
http://www.dominique59121.skyrock.com
De Chabannes
Sauver le chateau de L'Ebaupinay ou le Roi de France de 1461 à 1483, Louis XI, dit « le Prudent », né le 3 juillet 1423 à Bourges, mort le 30 août 1483 au château du Plessis-lèz-Tours, sixième roi de la branche dite de Valois (Valois directs) de la dynastie capétienne y est venu. Allez sur DARTAGNANS.FR
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