Lundi, le Souvenir vendéen réunissait près de 50 personnes pour commémorer le 221e anniversaire de la mort de Jacques Cathelineau.
En tout début d'après-midi, le général Patrick Garreau, vice-président du Souvenir vendéen, rappelait sobrement la courte épopée de cet homme, venu d'une famille simple du Pin-en-Mauges, et qui reçut le titre de « généralissime », lors du mouvement de la Vendée militaire de 1793.
« Homme de raison et homme de foi, il est de ceux qui ont fait bouger les choses, tirant de son expérience de voiturier, la nécessité de stimuler le commerce et la libre circulation des produits », résumait le général Patrick Garreau.
Il reste que Jacques Cathelineau, porté à la tête du mouvement vendéen, fut blessé le 29 juin 1793 à la bataille de Nantes. Il est alors soigné par Jeanne Bussonière, une infirmière religieuse de « l'hôpital » de Saint-Florent. Mais il mourut le 14 juillet 1793 des suites de cette grave blessure. Aujourd'hui, Jacques Cathelineau et son fils Jacques Joseph, décédé en 1832, reposent en un double tombeau de la chapelle Saint-Charles.
Les participants à cette manifestation de commémoration se sont d'abord recueillis en la chapelle Saint-Charles. Ils ont ensuite visité le musée d'histoire locale et des guerres de Vendée, sous la direction de Jehan de Dreuzy, pour terminer par « la maison du pêcheur » Bélion, à la Meilleraie-de-Varades, là où est mort Charles de Bonchamps, dans la nuit du 17 au 18 octobre 1793.
source Ouest-France du 16 juillet
En tout début d'après-midi, le général Patrick Garreau, vice-président du Souvenir vendéen, rappelait sobrement la courte épopée de cet homme, venu d'une famille simple du Pin-en-Mauges, et qui reçut le titre de « généralissime », lors du mouvement de la Vendée militaire de 1793.
« Homme de raison et homme de foi, il est de ceux qui ont fait bouger les choses, tirant de son expérience de voiturier, la nécessité de stimuler le commerce et la libre circulation des produits », résumait le général Patrick Garreau.
Il reste que Jacques Cathelineau, porté à la tête du mouvement vendéen, fut blessé le 29 juin 1793 à la bataille de Nantes. Il est alors soigné par Jeanne Bussonière, une infirmière religieuse de « l'hôpital » de Saint-Florent. Mais il mourut le 14 juillet 1793 des suites de cette grave blessure. Aujourd'hui, Jacques Cathelineau et son fils Jacques Joseph, décédé en 1832, reposent en un double tombeau de la chapelle Saint-Charles.
Les participants à cette manifestation de commémoration se sont d'abord recueillis en la chapelle Saint-Charles. Ils ont ensuite visité le musée d'histoire locale et des guerres de Vendée, sous la direction de Jehan de Dreuzy, pour terminer par « la maison du pêcheur » Bélion, à la Meilleraie-de-Varades, là où est mort Charles de Bonchamps, dans la nuit du 17 au 18 octobre 1793.
source Ouest-France du 16 juillet