De Saint-Denis à Mossoul : l'esprit de la révolution s'attaque toujours aux arts et au spirituel

Ce film tourné par le Souvenir Chouan de Bretagne est dénué de musique cachant les bruits de la destruction ; on entend même les cloches sonner les heures. C'est XXXXXX à Gesté, voulu par XXXXXX XXXXXXXXX sous la direction de XXXXXX XXXXX , XXXXXXXXXXX XXXXX.

A la demande de Monsieur Jean-Pierre Léger, ancien Maire, nous masquons des propos sur un sujet polémique qui a agité les Mauges et le Bocage Vendéen ces derniers mois.

Tout le monde peut avoir un avis différent et vous demandons de le respecter en mettant les formes.Nous vous demandons de mesurer vos commentaires.

Nous ferons parvenir, par courtoisie, le courrier de Monsieur Léger à l'association émettrice de cette note.

Pour information :

Voici une note que vous trouverez sur wikipedia et que vous pourrez compléter en relisant les articles du Courrier de l'Ouest ou de Ouest-France.

« L'église était l'un des rares monuments anciens à subsister dans le bourg, depuis la démolition des halles et de l'ancien couvent du XVIIe siècle. Elle a fait l'objet d'une polémique opposant la municipalité, désirant démolir puis reconstruire le bâtiment pour cause de vétusté, et une partie des habitants regroupés dans l'association Mémoire Vivante du Patrimoine Gestois4.

En 2007, la direction de la DRAC fait savoir au maire de Gesté que l'église présente un intérêt architectural, « en particulier par sa remarquable reconstruction néogothique ». En 2008, le SDAP du Maine-et-Loire émet un avis défavorable à la destruction de l'église, qui présente un « intérêt certain »2.

La cour administrative de Nantes a, en appel, annulé le 3 février 2012, le permis de démolir, car cette décision était « entachée d’une erreur manifeste d’appréciation » : l'intérêt architectural de l'édifice rendrait sa destruction dommageable et son état de conservation correct n'engendre pas de danger particulier2.

La démolition de l'église étant rendue impossible par l'arrêt du Conseil d'État, rendu le 5 décembre 2012, qui rejette le pourvoi en cassation de la mairie, la municipalité se trouve désormais dans l'obligation de procéder à sa restauration5.

L'église, laissée à l'abandon, subit des actes de vandalismes et des vols au cours des premiers mois de 2013 (maître-autel brisé, disparition du chemin de croix, etc.6).

Pour autant, le 6 mai 2013, le conseil municipal réitère sa décision de démolir l'édifice7 et lance un appel d'offre en ce sens. La mairie annonce en effet qu'elle pense finalement n'avoir pas besoin de permis de démolir8. L'évêque d'Angers, Emmanuel Delmas, ne s'oppose pas à l'éventuelle destruction, du moment qu'un édifice dédié au culte existe dans la commune9. Une nouvelle église doit être construite au même endroit10.

Commandée par le maire, Jean-Pierre Léger, et le conseil municipal et passant outre l'avis de la justice et des Bâtiments de France, la destruction de l'église débute le 19 juin 201311. La destruction de l'église, chœur et nef, est effective en septembre 2013. Il n'en subsiste que le clocher, le pignon ouest, trois colonnes et la crypte. »

De nombreuses personnes ont été surprises par ces destructions de nos églises. Un cas similaire a existé en Vendée (Mortagne-sur-Sèvre).

Après de nombreuses réflexions une solution a heureusement été trouvée.

C'est le manque de volonté et d'imagination de certains élus que pointait Guy Massin-le Goff, conservateur des antiquités religieuses du Maine-et-Loire en juin 2014.

Visite en 3 D de l'église lors de sa destruction et non pas déconstruction.

Il faut appeler un chat un chat. Sinon personne ne comprend. Quel traumatisme pour la commune.

Recopiez le lien ci-dessous :

https://www.google.com/maps/views/view/114463779982074855301/gphoto/6084314911298023394?gl=fr&heading=279&pitch=90&fovy=75