L’écrivain vendéen Yves Viollier offre avec L’instant de grâce un hymne au pardon
Le lecteur est plongé en plein cœur de la guerre de Vendée.
Particulièrement ce 17 octobre 1793 : La bataille de Cholet fait rage. Le général Bonchamps, au seuil de la mort, gracie 5000 républicains enfermés dans l’église de Saint-Florent-le-Vieil. Parmi eux se trouve Pierre-Louis David, le père du futur sculpteur David d’Angers.
«C’est après avoir écrit l’Oratorio du Pardon, composé par Bruno Coulais, que j’ai commencé ce roman, raconte Yves Viollier. C’était une évidence : cette scène de Saint-Florent-le- Vieil apparaissait comme la colline inspirée des guerres de Vendée »
Particulièrement ce 17 octobre 1793 : La bataille de Cholet fait rage. Le général Bonchamps, au seuil de la mort, gracie 5000 républicains enfermés dans l’église de Saint-Florent-le-Vieil. Parmi eux se trouve Pierre-Louis David, le père du futur sculpteur David d’Angers.
«C’est après avoir écrit l’Oratorio du Pardon, composé par Bruno Coulais, que j’ai commencé ce roman, raconte Yves Viollier. C’était une évidence : cette scène de Saint-Florent-le- Vieil apparaissait comme la colline inspirée des guerres de Vendée »
La force et le génie
Ce 17 octobre, sur le parvis de l’église, un enfant assiste à la scène et retrouve par miracle son père.
Cet enfant, c’est Pierre-Jean, futur David d’Angers et auteur de la majestueuse statue de Bonchamps rendant « Grâce aux prisonniers».
Le romancier a voulu montrer le destin des deux hommes, unis par leur force et leur génie. Bonchamps ne se résume pas à ce geste de la main, certes grandiose, que le sculpteur a magnifié.
« Bonchamps est un homme de paix », souligne Yves Viollier. Bonchamps a aussi permis à David d’Angers de sublimer son art : d’un bloc de marbre de Carrare, il a fait renaître le général vendéen.
«David d’Angers, lui dira son ami Victor Hugo, c’est toi, lorsqu’un héros tombe, qui le relèves souverain. (...) C’est toi qui, sur le sombre abîme, dresses le colosse sublime qui prend le phare dans sa main. »
Cet enfant, c’est Pierre-Jean, futur David d’Angers et auteur de la majestueuse statue de Bonchamps rendant « Grâce aux prisonniers».
Le romancier a voulu montrer le destin des deux hommes, unis par leur force et leur génie. Bonchamps ne se résume pas à ce geste de la main, certes grandiose, que le sculpteur a magnifié.
« Bonchamps est un homme de paix », souligne Yves Viollier. Bonchamps a aussi permis à David d’Angers de sublimer son art : d’un bloc de marbre de Carrare, il a fait renaître le général vendéen.
«David d’Angers, lui dira son ami Victor Hugo, c’est toi, lorsqu’un héros tombe, qui le relèves souverain. (...) C’est toi qui, sur le sombre abîme, dresses le colosse sublime qui prend le phare dans sa main. »
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