Si les batailles du Mans et de Granville ont constitué des événements clés de la campagne du nord de la Loire, elles sont exclusivement des défaites de l’Armée vendéenne.
Or, l’Armée vendéenne a aussi connu des victoires pendant ces mois d’octobre à décembre 1793. Celles – car elles sont au nombre de trois – remportées sous les murs de Laval ne sont pas moins importantes, puisqu’elles auraient pu changer complètement la face de la guerre et peut-être même de la Révolution.
C’est ici que va se jouer le destin de l’Armée catholique et royale : victoires inexploitées, tragiques décisions stratégiques…
C’est une armée triomphante qui quitte la ville au début de novembre 1793 et ce sont des spectres démoralisés qui sont traînés vers la guillotine installée au centre de la cité à peine deux mois plus tard.
Pour parvenir à rassembler les renseignements les plus complets, notre démarche a consisté à puiser dans les archives administratives, militaires et cadastrales ; mais surtout à laisser parler les témoins directs en tentant de les confronter ; enfin à nous déplacer sur les lieux des affrontements afin de restituer au mieux les éléments d’histoire retrouvés et de les mettre en « vie » dans un récit au jour le jour.
Auteur d’un mémoire de maîtrise sur le rôle des femmes lors de la guerre civile de 1793 à 1793 et titulaire d’un Master en Histoire obtenu en 2002 sous la direction de Brigitte Waché, professeur à l’Université du Maine, ayant pour sujet la Chouannerie dans la Mayenne, Joakim Collet a voulu dans cet ouvrage ouvrir une page méconnue mais – ô combien – importante de l’épopée vendéenne, celle du passage de cette armée à Laval.
15,5 x 23, 160 pages
quelques illustrations et cartes n&b dans le texte
Or, l’Armée vendéenne a aussi connu des victoires pendant ces mois d’octobre à décembre 1793. Celles – car elles sont au nombre de trois – remportées sous les murs de Laval ne sont pas moins importantes, puisqu’elles auraient pu changer complètement la face de la guerre et peut-être même de la Révolution.
C’est ici que va se jouer le destin de l’Armée catholique et royale : victoires inexploitées, tragiques décisions stratégiques…
C’est une armée triomphante qui quitte la ville au début de novembre 1793 et ce sont des spectres démoralisés qui sont traînés vers la guillotine installée au centre de la cité à peine deux mois plus tard.
Pour parvenir à rassembler les renseignements les plus complets, notre démarche a consisté à puiser dans les archives administratives, militaires et cadastrales ; mais surtout à laisser parler les témoins directs en tentant de les confronter ; enfin à nous déplacer sur les lieux des affrontements afin de restituer au mieux les éléments d’histoire retrouvés et de les mettre en « vie » dans un récit au jour le jour.
Auteur d’un mémoire de maîtrise sur le rôle des femmes lors de la guerre civile de 1793 à 1793 et titulaire d’un Master en Histoire obtenu en 2002 sous la direction de Brigitte Waché, professeur à l’Université du Maine, ayant pour sujet la Chouannerie dans la Mayenne, Joakim Collet a voulu dans cet ouvrage ouvrir une page méconnue mais – ô combien – importante de l’épopée vendéenne, celle du passage de cette armée à Laval.
15,5 x 23, 160 pages
quelques illustrations et cartes n&b dans le texte