Alors que la France s'ingéniait à imprimer à tour de bras des timbres ornés de portraits de Robespierre, Marat ou Danton – oubliant que les usagers pouvaient être tentés de cracher du mauvais côté – il fallait aller chercher à l'étranger des contre-exemples à cette dévotion révolutionnaire, en Angleterre notamment.
Le cas des Comores est certainement le plus étonnant, puisqu'il représente sur un timbre très coloré Jean Cottereau, dit Jean Chouan, et cinq de ses compagnons pointant leurs pistolets. La mention « République fédérale islamique des Comores », en français et en arabe, donne un aspect très décalé à cette image.
On doit vraisemblablement chercher l'instigateur de cette création du côté de Bob Denard, le célèbre mercenaire français qui eut une influence prépondérante à cette époque aux Comores, du moins jusqu'en décembre 1989. Juste assez pour que ce timbre soit édité.
Le cas des Comores est certainement le plus étonnant, puisqu'il représente sur un timbre très coloré Jean Cottereau, dit Jean Chouan, et cinq de ses compagnons pointant leurs pistolets. La mention « République fédérale islamique des Comores », en français et en arabe, donne un aspect très décalé à cette image.
On doit vraisemblablement chercher l'instigateur de cette création du côté de Bob Denard, le célèbre mercenaire français qui eut une influence prépondérante à cette époque aux Comores, du moins jusqu'en décembre 1989. Juste assez pour que ce timbre soit édité.