De vrais personnages dans de vrais costumes !
Toute l'équipe vous donne rendez-vous sur son nouveau site www.coeursdechouans.com
A vous d'en juger !
Chacun dans la troupe a choisi d’incarner un personnage fictif ou un condensé de personnes ayant réellement existé. Ce choix est dicté par le physique, les affinités et la mentalité afin de représenter au mieux l’homme ou la femme qu’il souhaite incarner.
Après des recherches pour éviter tout anachronisme, chaque membre doit confectionner son costume, choisir ses armes. Il est seul responsable de sa tenue qu’il porte à chaque sortie de la troupe.
A vous d'en juger !
Chacun dans la troupe a choisi d’incarner un personnage fictif ou un condensé de personnes ayant réellement existé. Ce choix est dicté par le physique, les affinités et la mentalité afin de représenter au mieux l’homme ou la femme qu’il souhaite incarner.
Après des recherches pour éviter tout anachronisme, chaque membre doit confectionner son costume, choisir ses armes. Il est seul responsable de sa tenue qu’il porte à chaque sortie de la troupe.
Not’ Général
Je suis né à Nantes en 1740 d’une famille bretonne de noblesse peu ancienne.
A 17 ans, j’entre sur recommandation comme Enseigne dans le Bataillon de la milice garde-côtes de Saint-Nazaire.
Je participe à la guerre de sept ans en qualité de Lieutenant dans le prestigieux régiment de la marine, puis je prends part à la guerre d’indépendance de l’Amérique avec le grade de major puis de lieutenant-colonel.
Au début de la Révolution, je me retire sur mes terres près de Nantes, et devient l’un des chefs locaux de l’Association Bretonne créée par le marquis de la Rouërie.
Lors du soulèvement paysan de mars 1793, je suis élu chef contre mon gré par vingt paroisses de la région.
A la tête de trois mille hommes, je pars de Saint-Etienne-de-Montluc rejoindre Charette à Pornic.
A la tête de mes hommes, je pratique la guerre de harcèlement comme me l’ont appris les indiens d’Amérique ; je traque les Bleus sans relâche dans des embuscades meurtrières ; puis nous disparaissons aussi vite dans les chemins creux du Bocage.
Vêtu d’une redingote en drap bleu marine à passements et col rouges, j’agrémente mon chapeau de plumes de faisans.
J’ai préféré un sabre « Briquet » pris sur le cadavre d’un gendarme au lieu et place de mon sabre d’officier de marine.
En revanche je ne me sépare jamais de mon pistolet, un Kentucky américain que m’a offert le général Nathanael Greene.
Je porte deux poires à poudre en bandoulière, ainsi qu’un coutelas ayant appartenu à un Huron.
A 17 ans, j’entre sur recommandation comme Enseigne dans le Bataillon de la milice garde-côtes de Saint-Nazaire.
Je participe à la guerre de sept ans en qualité de Lieutenant dans le prestigieux régiment de la marine, puis je prends part à la guerre d’indépendance de l’Amérique avec le grade de major puis de lieutenant-colonel.
Au début de la Révolution, je me retire sur mes terres près de Nantes, et devient l’un des chefs locaux de l’Association Bretonne créée par le marquis de la Rouërie.
Lors du soulèvement paysan de mars 1793, je suis élu chef contre mon gré par vingt paroisses de la région.
A la tête de trois mille hommes, je pars de Saint-Etienne-de-Montluc rejoindre Charette à Pornic.
A la tête de mes hommes, je pratique la guerre de harcèlement comme me l’ont appris les indiens d’Amérique ; je traque les Bleus sans relâche dans des embuscades meurtrières ; puis nous disparaissons aussi vite dans les chemins creux du Bocage.
Vêtu d’une redingote en drap bleu marine à passements et col rouges, j’agrémente mon chapeau de plumes de faisans.
J’ai préféré un sabre « Briquet » pris sur le cadavre d’un gendarme au lieu et place de mon sabre d’officier de marine.
En revanche je ne me sépare jamais de mon pistolet, un Kentucky américain que m’a offert le général Nathanael Greene.
Je porte deux poires à poudre en bandoulière, ainsi qu’un coutelas ayant appartenu à un Huron.