Ce recueil de textes d’époque offre un tableau terrifiant des Journées de Septembre et des massacres qui entachèrent la naissance de la République.
Dans le premier, Mon agonie de trente-huit heures, M. de Jourgniac Saint-Méard raconte sa détention dans la prison de l’Abbaye Saint-Germain du 22 août au 4 septembre.
Le deuxième, intitulé Quelques-uns des fruits amers de la Révolution, évoque la destinée d’une famille décimée par la Révolution.
Dans le troisième, l’abbé Sicard peint une dramatique Relation sur les dangers qu’il a couru les 2 et 3 septembre 1792.
La Déclaration du citoyen Jourdain, qui vient ensuite, constitue l’un des témoignage les plus graves contre les auteurs des massacres.
S’ensuivent les procès-verbaux de la Commune de Paris, du 10 août au 10 septembre 1792 et autres pièces accablantes pour la Révolution.
Réimpression de l’édition de 1823
392 pages, 14,5 x 20,5
Dans le premier, Mon agonie de trente-huit heures, M. de Jourgniac Saint-Méard raconte sa détention dans la prison de l’Abbaye Saint-Germain du 22 août au 4 septembre.
Le deuxième, intitulé Quelques-uns des fruits amers de la Révolution, évoque la destinée d’une famille décimée par la Révolution.
Dans le troisième, l’abbé Sicard peint une dramatique Relation sur les dangers qu’il a couru les 2 et 3 septembre 1792.
La Déclaration du citoyen Jourdain, qui vient ensuite, constitue l’un des témoignage les plus graves contre les auteurs des massacres.
S’ensuivent les procès-verbaux de la Commune de Paris, du 10 août au 10 septembre 1792 et autres pièces accablantes pour la Révolution.
Réimpression de l’édition de 1823
392 pages, 14,5 x 20,5
pour commander le livre : Mémoires sur les Journées de Septembre 1792