Une famille vendéenne pendant la Grande Guerre de Vendée, mémoires d'un père à ses enfants - Marin-Jacques BOUTILLIER DE SAINT-ANDRE
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Avec le 220ème anniversaire de la Bataille de Cholet, voici un témoignage à lire et à relire pour découvrir la plus grande bataille des Guerres de Vendée. Guerre civile, combats de rue plus vrais que nature avec un récit enlevé et plein de détails !
Rappel sur les Mémoires de Boutillier
Les mémoires de Boutillier de Saint-André couvrent la période de 1789 à 1795, au cœur de la Vendée Militaire depuis la Grande Peur de la Madeleine en juillet 1789, jusqu'aux lendemains du passage des Colonnes infernales.
A la fin du mois de mai 1793, Marin-Jacques Boutillier de Saint-André accepte la charge d'historiographe officiel que lui confie d'Elbée. Il s'y adonne scrupuleusement. La valeur exceptionnelle de ses chroniques tient à ses contacts fréquents avec les chefs vendéens, les nouveaux administrateurs, les gens du pays et aux documents officiels qu'il compulse.
A l'automne 1793 les armées républicaines ravagent le pays vendéen. Les précieuses notes historiographiques disparaissent dans l'incendie de Mortagne. Comme tant d'autres, cette famille, profondément éprouvée par la tragédie de la guerre garde le souvenir de ce drame. Soucieux de perpétuer cette histoire, le fils de Marin-Jacques Boutillier de Saint-André entreprend vers 1820, à l'aide de ses souvenirs et de nombreux témoignages, un récit d'une grande précision.
Le texte rapporte quantité de documents, de pièces annexes, et d'un index de 800 entrées. Une introduction de E. Bossard complète l'ouvrage.
A la fin du mois de mai 1793, Marin-Jacques Boutillier de Saint-André accepte la charge d'historiographe officiel que lui confie d'Elbée. Il s'y adonne scrupuleusement. La valeur exceptionnelle de ses chroniques tient à ses contacts fréquents avec les chefs vendéens, les nouveaux administrateurs, les gens du pays et aux documents officiels qu'il compulse.
A l'automne 1793 les armées républicaines ravagent le pays vendéen. Les précieuses notes historiographiques disparaissent dans l'incendie de Mortagne. Comme tant d'autres, cette famille, profondément éprouvée par la tragédie de la guerre garde le souvenir de ce drame. Soucieux de perpétuer cette histoire, le fils de Marin-Jacques Boutillier de Saint-André entreprend vers 1820, à l'aide de ses souvenirs et de nombreux témoignages, un récit d'une grande précision.
Le texte rapporte quantité de documents, de pièces annexes, et d'un index de 800 entrées. Une introduction de E. Bossard complète l'ouvrage.