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Comment est né ce livre ?
Cela fait quinze ans qu'il mûrit en moi. Un jour, j'ai retrouvé un acte notarié de 1767, qui a tout déclenché. Il concernait un quintaïeul, Pierre Gréau, qui a fait la Virée de Galerne, avec le chevalier Auguste de la Voyrie, habitant la Demangère de Nesmy.
Dans mes recherches généalogiques, j'ai aussi retrouvé un ancêtre maternel, Pierre Morilleau, qui quitta la paroisse de Saint-Pierre des Lucs en 1794, pour se réfugier à Saint-André-d'Ornay, puis à Chaillé-sous-les-Ormeaux. C'est à eux que j'ai dédié ce livre.
Comment se structure l'ouvrage ?
La première partie du livre est le fruit de mes recherches permettant de comprendre la Virée de Galerne. J'explique ce qu'était l'armée des puants et je prends du recul par rapport aux sources communément admises, avant de tenter un dénombrement, grâce aux demandes de pensions, faites sous la Restauration.
Ensuite, je propose une analyse des deux camps et de leur propre organisation.
Quels sont les éléments les plus surprenants que vous avez retenus ?
Dans la seconde partie de mon livre, je reprends les étapes de cette Virée de Galerne. C'est l'incroyable exploit physique, réalisé par ces hommes, ces femmes et ces enfants, qui m'a le plus marqué.
En 2003, j'ai refait concrètement à pied cet énorme périple, sur la trace de mes ancêtres, mais je n'avais pas, comme eux, les hussards de la République aux trousses.
La troisième partie du livre est constituée de longues listes...
Oui, il s'agit de montrer, de manière claire mais non exhaustive, que la Virée de Galerne n'a pas été réservée aux Vendéens. Il y avait en effet de très nombreux Angevins, Poitevins, Mainiaux, Manceaux, des Bretons et même des Normands. Ces listes sont aussi une source pour tous ceux qui sont à la recherche d'ancêtres, combattants de cette époque.
Cela fait quinze ans qu'il mûrit en moi. Un jour, j'ai retrouvé un acte notarié de 1767, qui a tout déclenché. Il concernait un quintaïeul, Pierre Gréau, qui a fait la Virée de Galerne, avec le chevalier Auguste de la Voyrie, habitant la Demangère de Nesmy.
Dans mes recherches généalogiques, j'ai aussi retrouvé un ancêtre maternel, Pierre Morilleau, qui quitta la paroisse de Saint-Pierre des Lucs en 1794, pour se réfugier à Saint-André-d'Ornay, puis à Chaillé-sous-les-Ormeaux. C'est à eux que j'ai dédié ce livre.
Comment se structure l'ouvrage ?
La première partie du livre est le fruit de mes recherches permettant de comprendre la Virée de Galerne. J'explique ce qu'était l'armée des puants et je prends du recul par rapport aux sources communément admises, avant de tenter un dénombrement, grâce aux demandes de pensions, faites sous la Restauration.
Ensuite, je propose une analyse des deux camps et de leur propre organisation.
Quels sont les éléments les plus surprenants que vous avez retenus ?
Dans la seconde partie de mon livre, je reprends les étapes de cette Virée de Galerne. C'est l'incroyable exploit physique, réalisé par ces hommes, ces femmes et ces enfants, qui m'a le plus marqué.
En 2003, j'ai refait concrètement à pied cet énorme périple, sur la trace de mes ancêtres, mais je n'avais pas, comme eux, les hussards de la République aux trousses.
La troisième partie du livre est constituée de longues listes...
Oui, il s'agit de montrer, de manière claire mais non exhaustive, que la Virée de Galerne n'a pas été réservée aux Vendéens. Il y avait en effet de très nombreux Angevins, Poitevins, Mainiaux, Manceaux, des Bretons et même des Normands. Ces listes sont aussi une source pour tous ceux qui sont à la recherche d'ancêtres, combattants de cette époque.